Dioxine - La douleur d'une multitude d'êtres humains

Le commandant Tu Duc Phang (province de Khanh Hoà) (photo 1) a éprouvé de la douleur en regardant son portrait, pris avant quil ne rejoigne larmée. En 1973, il a lutté sur les champs de bataille du sud et a participé au sauvetage de l’entrepôt darmes à Nha Trang (province de Khanh Hoà). Douze ans plus tard, il saperçoit que de grandes taches noires et rouges envahissent son corps et que ses cheveux tombent. Cest la dioxine qui est la cause de tout. Elle a été massivement répandue par les troupes Américaines au Vietnam pendant la guerre. nbsp;





Le commandant Tu Duc Phang (province de Khanh Hoà) (photo 1) a éprouvé de la douleur en regardant son portrait, pris avant qu'il ne rejoigne l'armée. En 1973, il a lutté sur les champs de bataille du sud et a participé au sauvetage de l’entrepôt d'armes à Nha Trang (province de Khanh Hoà). Douze ans plus tard, il s'aperçoit que de grandes taches noires et rouges envahissent son corps et que ses cheveux tombent. C'est la dioxine qui est la cause de tout. Elle a été massivement répandue par les troupes Américaines au Vietnam pendant la guerre.

Le IVe Concours et l'Exposition de photos sur le thème «Vietnam-la terre et les hommesnbsp;», organisé par Vietnam Illustré et l’Association des photographes du Vietnam, se sont tenus en octobre 2004. Un groupe de photosnbsp; intitulé "Dioxine - la responsabilité des Etats-Unis" réalisé par le photographe Ngo Môn, a remporté le premier Prix. Dans ses photos, Ngo Môn montre trois victimes de l’agent orange.

Le commandant Tu Duc Phang (province de Khanh Hoà) (photo 1) a éprouvé de la douleur en regardant son portrait, pris avant qu'il ne rejoigne l'armée. En 1973, il a lutté sur les champs de bataille du sud et a participé au sauvetage de l’entrepôt d'armes à Nha Trang (province de Khanh Hoà). Douze ans plus tard, il s'aperçoit que de grandes taches noires et rouges envahissent son corps et que ses cheveux tombent. C'est la dioxine qui est la cause de tout. Elle a été massivement répandue par les troupes Américaines au Vietnam pendant la guerre. Trente ans après, l’agent orange continue de provoquer des souffrances pour la génération de l'après-guerre. Des millions de Vietnamiens sont défigurés et beaucoup d'entre eux sont des enfants.
Trân Quang Hung à Nha Trang (Khanh Hoa) (photo 2) est l'un d'eux. Il a attrapé la maladie par son père. Maintenant à 6 ans, il est incapable de marcher ou de parler.
Nguyên Thi Kim Thoa (photo 3), 18 ans a gagné une fois une médaille d'argent au concours de chant à Hanoï. À presque 20 ans, l’agent orange qu'elle a hérité de son père, un soldat, commence à l'affecter.
En parlant de ces photos, Ngo Môn déclare: "Je veux rmontrer la réalité et les souffrances causées par la guerre, pour que tout le monde puisse sympathiser avec les destins de ces malchanceux, et comprendre mieux ceux qui ont consacré leur vie, pournbsp; l’indépendance et la paix du pays.".

nbsp; Texte: Tri Công

Tri Cong

Réunion pour la justice

Réunion pour la justice

La conférence internationale de soutien aux victimes de l’agent orange/dioxine (VAVA) s’est déroulée les 28 et 29 mars 2006 à Hanoi. Organisée conjointement par l’Association des vétérans vietnamiens et l’Union des associations d’amitié du Vietnam, elle a rassemblé plus de 150 délégués venus de divers pays dont Etats-Unis, France, Corée du sud, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande...

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