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COVID-19 : Hanoï prête à faire face au risque d’infection à un niveau élevé

Du 4 au 6 mai, Hanoï a détecté cinq cas de COVID-19 d’origine locale et 42 cas chez l'Hôpital central des maladies tropicales de Kim Chung à Hanoï. Le risque d’infection de l'épidémie de COVID-19 dans la ville est à un niveau très élevé, a déclaré le chef adjoint du Service municipal de la santé, Hoang Duc Hanh, lors d’une réunion du Comité de direction de la prévention et de la lutte contre l’épidémie de COVID-19 de Hanoï, tenue jeudi après-midi 6 mai.

Selon le séquençage génétique effectué par le ministère de la Santé, des cas détectés dans les provinces de Vinh Phuc, Ha Nam, Hung Yen sont touchés par des variantes dangereuses capables de se propager rapidement. Par conséquent, les unités doivent renforcer la surveillance pour détecter à temps les cas d’infection.

Selon M. Hanh, les 5 et 6 mai, l'Hôpital central des maladies tropicales de Kim Chung a enregistré 41 cas supplémentaires du coronavirus : huit à Hanoï et 33 d’autres localités.

Alors, du 29 avril à présent, Hanoï a enregistré neuf cas d’infection locale et 42 cas à l'Hôpital central des maladies tropicales de Kim Chung, sans décès.

Face à la situation épidémique compliquée, le Comité de direction de la prévention et de la lutte contre l’épidémie de COVID-19 de Hanoï a demandé aux unités de suivre de près la situation épidémique, de retracer rapidement tous les cas d’infection et les personnes liées et d’appliquer la quarantaine médicale, conformément aux réglementations.

Le Service municipal de la santé a ordonné aux établissements médicaux et aux agents de santé de se conformer strictement aux réglementations sur la prévention et la lutte contre le COVID-19, de détecter de façon précoce des infectés, d’appliquer les tests à grande échelle. Les établissements médicaux de la ville doivent être prêts à recevoir et à traiter les personnes atteintes du COVID-19.

La police doit s’efforcer d’examiner, de détecter et de traiter strictement les entrées illégales et les propriétaires d'établissements d'hébergement contenant des personnes qui sont entrées illégalement.

Il faut aussi sensibiliser auprès de la population sur la nécessité de faire la déclaration médicale. -VNA/VI


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