C’est l’amour pour la cuisine vietnamienne qui a incité M. Shahar Lubin, un Américain d’origine israélienne à s’intaller à Hanoi et y ouvrir son restautant Daluwa sur l’avenue Tô Ngoc Vân, à l’arrondissement de Tây Hô (Hanoi).
« Avant d’aller au Vietnam, je travaille des années aux Etats-Unis, et puis voyage à travers le monde. J’apprend la culture vietnamienne quand je suis au Etats-Unis. J’adore la cuisine vietnamienne et à peine venu à Hanoi la première fois, je l’aime tout de suite et crois que je dois s’installer vivre là-bas », a confié Shahar Lubin.
Plusieurs Israéliens sympatiques du Vietnam viennent à son restaurant goûter des plats mélangés du goût vietnamien et israélien que Shahar Lubin prépare avec tant de passion. Récemment, son restaurant avait l’honneur d’organiser avec l’ambassade d’Israel « La semaine culinaire d’amitié Vietnam-Israel », qui mettait en valeur ses plats qui combinent de façon délicate et harmonieuse des deux cuisines vietnamienne et israélienne.
Le cuisinier en chef israélien, Shahar S. Lubin à son restaurant Daluva dans la rue Tô Ngoc Vân (Hanoi)
Le cuisinier en chef israélien, Shahar S. Lubin et l’ambassadrice d’Israel au Vietnam, Mme Meirav Eilon Shahar,
présentent des plats israéliens préparés à base des ingrédients vietnamiens
Le cuisinier en chef israélien, Shahar S. Lubin et l’ambassadrice d’Israel au Vietnam, Mme Meirav Eilon Shahar,
présentent des plats israéliens préparés à base des ingrédients vietnamiens
Des clients étrangers au restaurant Daluva
La semaine culinaire Vietnam-Israel renforce l’amitié entre les deux pays au moyen de l’art culinaire
Le cuisinier en chef Shahar S. Lubin, amoureux des mets vietnamiens de sorte qu’il ouvre son propre restaurant à Hanoi
Des épiceries israéliennes
Une salade préparée de la farine et d’autres ingrédients vietnamiens
Le tofu frit avec des épiceries israéliennes
La nouvelle recette du rouleau printemp vietnamien qui ne contient que de légumes
Le bun cha (vermicelles au porc grillé) préparé à l’israélienne |
Il a surpris le public par les plats typiques vietnamiens comme le nem (rouleaux du printemps, le bun cha (vermicelles au porc grillé), la salade, le tofu frit, préparés par les ingrédients israéliennes et vietnamiennes.
Il a le plaisir de préparer les plats israéliens à sa propre façon, à base des ingrédients vietnamiens dont le shuk shuka, un met très populaire en Israel, cuisiné avec des œufs cuits dans de la saumure de poisson avec des tomates et naturellement, assaisonné avec du nuoc mam (saumure de poisson). « Comme je vis au Vietnam, je ne peut pas passer du nuoc mam en cuisinant », a –t-il expliqué avec un sourire.
«En tant que cousinier et vis au Vietnam, je souhaite former d’autres cuisiniers vietnamiens. A mon restaurant, je suis prêt à leur donner des conseils», a-t-il confié.
Shahar Lubin aime la vie de Hanoi et trouve toujours des choses qui lui rapportent du bonheur: prendre un bol de pho ou de vermicelles au petit matin, dégoûter en sérénité une tasse de thé vert, bavarder avec des habitants ou faire un tour du petit Lac en regardant les files de gens qui se pressent sur la rue. «Hanoi a gagné tout mon cœur», a-t-il confié, le cuisinier israélien à plusieurs reprises à ses amis son amour pour la ville de Hanoi.
« Et chaque plat, comme les habitants de Hanoi, évolue sans cesse », a confié encore Shahar Lubin./.
Réalisé par Trân Thanh Giang