“Dong Dang où se trouve la rue Ky Lua, la dame Tô Thi et la pagode Tam Thanh. Qui vient à Lang Son avec moi …. », ce proverbe qui se perpétue des siècles chantant un bourg à proximité de la province frontalière de Lang Son, Dong Dang, un nom qui est lié à la légende de la Dame Tô Thi. Après février 1979, le bourg est réputé pour une autre légende, c’est l’histoire des soldats suicides dans la forteresse de Dong Dang lors les l’invasion des soldats chinois en février 1979 au Vietnam.
Il y a les 40 années, la province frontalière de Lang Son fut l’un des fronts les plus atroces de la guerre de la frontière septentrionale. « Le matin, on prend le petit déjeuner à Dong Dang, l’après-midi, on prend le diner à Hanoi », déclarèrent de façon prétentieuse les soldats chinois lorsqu’ils entrèrent à la porte de Lang Son.
La forteresse de Dong Dang occupa à cette période, une position vitale pour tout le bourg de Dong Dang pour son casemate souterrain et les créneaux qui donnèrent sur toutes les directions. Elle servit au danger, de refuge pour des centaines d’habitants de Dong Dang.
La compagnie No 42 du régime No 4 de la division 3 (Corps de troupes Sao Vang) garda la forteresse à cette période. Au bout de 5 jours et nuits, les soldats chinois furent fâchés car ils ne purent pas occuper la forteresse Le 22 février 1979, ils détruisirent la porte de la forteresse à la dynamite, lancèrent des grenades dans les prises d’air de la forteresse et puis brulèrent l’ouvrage avec de l’essence.
Les cinq jours de défense de la forteresse de Dong Dang ont contribué à décourager les envahisseurs chinois, permirent aux habitants et l’armée vietnamiens de bien se préparer pour attaquer et battre les envahisseurs chinois, les chasser du pays./.
Réalisé par Viêt Linh
Se trouve sur une colle au sud du bourg de Dong Dong, la forteresse de Dong Dang est un vestige historique spécial de la guerre de la frontière septentrionale de 1979.
Après les quatre décennies, le bourg de Dong Dang se redresse mais les ruines de la forteresse de Dong Dang restent intactes sur la colline déserte évoquant encore une période tragique de l’histoire vietnamienne.
Le 17 février 1979, l’armée chinoise attaqua la forteresse avec des centaines d’habitants, les soldats de la compagnie No 42 du régime No 4 de la division 3 (Corps de troupes Sao Vang), des forces policières armées dedans. En image : des ruines des roches en bétons de la forteresse détruite par des grenades.
Le sous-capitaine Ha Duc Thiên, fut à cette époque soldat de la compagnie No 42 du régime No 4 de la division 337 a dit que son régime était l’unité majeure à défendre le bourg de Dong Dang et témoigna l’encerclement des soldats chinois.
La forteresse est un ouvrage solide dont les bunkers donnent sur toutes les 4 directions et les galeries cachées dans la montagne.
La forteresse se trouve sur une colline, à côté de la gare de Dong Dang et la Nationale 4A conduisant au bourg. Comme on peut embarrasser du regard, de la forteresse, tout le bourg est ses environs, l’armée chinoise fut déterminée, au début de son invasion au Vietnam, à occuper la forteresse.
Plusieurs roches de pierre se trouvent encore en suspens aux flancs de montagne
D’une vue d’en haut de la forteresse sur l’actuel bourg de Dong Dang. Après l’année 2000, on a commencé à découvrir la forteresse et a trouvé au 1er étage de l’ouvrage, des ossements d’une trentaine de morts.
Lors de premiers jours de la guerre de la frontière septentrionale, la forteresse servit de base militaire qui coûta la vie à nombre de soldats chinois et refuge pour des centaines d’habitants du bourg de Dong Dang
Les pièces de béton, témoins de l’explosion aux grenades de la forteresse de l’armée chinoise
Les soldats chinois utilisèrent du feu et du gaz nocif, jaillis dans la forteresse pour tuer les soldats et habitants qui se réfugièrent dedans.
Comme la forteresse de Dong Dang se trouve sur l’axe routier principal, et ne se trouve qu’à 2 km de la porte frontalière, pour accéder à la commune de Lang Son, les soldats chinois durent détruire la forteresse.